Le héros du nouveau roman de J. Melnik, « Je ne me lasse pas de vivire », vit depuis plus de mille ans. L'« État éternel » a été créé. La science, et notamment la médecine, a atteint un tel niveau qu'il est possible d'accorder l'immortalité. On pourrait croire que le rêve de l'humanité est enfin réalisé : le bien-être matériel, une intelligence artificielle des milliards de fois supérieure à l'intelligence humaine et qui guide tous les êtres vivants. Mais ce paradis est-il si simple ? Un jour, le héros rencontre une jeune fille qui ne souhaite pas vivre éternellement. Elle n'a même pas trente ans. Et tout commence à s'effondrer… Dans cette dystopie à l'intrigue haletante, le célèbre représentant de la « prose existentielle » s'interroge sur la mort et l'immortalité, sur la liberté et sur la menace d'un asservissement total de l'homme, menace engendrée par les nouvelles technologies.

Naujojo J. Melniko romano „Te visad būsiu aš" herojus gyvena jau daugiau kaip tūkstantį metų. Sukurta „Amžinoji valstybė". Mokslas, ypač medicina, pasiekė tokį lygį, kad pavyko suteikti nemirtingumą. Atrodytų, štai ji, žmonijos svajonė: materialinė gerovė, visiems gyviesiems vadovauja Dirbtinis intelektas, lenkiantis žmogiškąjį milijardus kartų. Bet ar viskas taip paprasta tame rojuje? Vieną dieną herojus susipažįsta su mergina, kuri nenori amžinai gyventi. Jai nėra nė trisdešimties. Ir viskas ima griūti... Šioje aštraus siužeto distopijoje garsus „egzistencinės prozos" atstovas susimąsto apie mirtį ir nemirtingumą, apie laisvę ir visiško žmogaus pavergimo grėsmę, atsirandančią dėl naujų technologijų.