Attention, le JavaScript est désactivé et vous ne pourrez bénéficier de toutes les fonctionnalités de cette page.

⚠️

Vous avez ajouté 0 produits à votre panier sans être connecté, si vous quittez le site, votre panier ne sera pas sauvegardé.

⚠️

A Espada e a Azagaia (As Areias do Imperador 2)


Auteur :
Couto, Mia

portugais

Nombre de pages : 462
Dimensions : 21 x 13,5 x 3,5 cm
Thème : histoire
Éditeur : Editorial Caminho
Date d'édition : 2016-10

prix TTC :
28,50 €
Réf.9789722128278

Description

A Espada e a Azagaia est le deuxième livre (le premier, Femmes de cendres, publié en octobre 2015) d'une trilogie - Les Sables de l'Empereur - à propos des derniers jours de l'Etat de Gaza, deuxième plus grand empire d'Afrique. par un africain. Ngungunyane (ou Gungunhane comme on l'appelait par les Portugais) était le dernier des empereurs à gouverner toute la moitié sud du territoire du Mozambique. Défait en 1895 par les forces portugaises commandées par Mouzinho de Albuquerque, l'empereur Ngungunyane fut déporté aux Açores où il mourut en 1906. Ses restes furent traduits au Mozambique en 1985. Cependant, il existe des versions qui suggèrent qu'ils n'étaient pas les os de l'empereur qui sont revenus à l'intérieur du cercueil. C'étaient des amas de sable. Du grand adversaire du Portugal, il reste les sables recueillis sur le sol portugais.

A Espada e a Azagaia é o segundo livro ( o primeiro, Mulheres de Cinza, foi publicado em outubro de 2015) de uma trilogia — As Areias do Imperador — sobre os derradeiros dias do chamado Estado de Gaza, o segundo maior império em África dirigido por um africano. Ngungunyane (ou Gungunhane como ficou conhecido pelos portugueses) foi o ultimo dos imperadores que governou toda a metade Sul do território de Moçambique. Derrotado em 1895 pelas forças portuguesas comandadas por Mouzinho de Albuquerque, o imperador Ngungunyane foi deportado para os Açores onde veio a morrer em 1906. Os seus restos mortais terão sido transladados para Moçambique em 1985. Existem, no entanto, versões que sugerem que não foram as ossadas do imperador que voltaram dentro da urna. Foram torrões de areia. Do grande adversário de Portugal restam as areias recolhidas em solo português.