Au point de départ, une série de maisons de Gabriella Corcione, des monotypes et des dessins : des profils de maison, l’intérieur, l’extérieur, l’ombre de la maison, ses habitants. Puis, Pierre Soletti a écrit un poème sur la maison comme personnage, avec une attention portée aux matières qui la constituent, autant d’essences d’elle-même. La maison comme une structure, ce que je vois par la fenêtre, le dedans, le dehors, l’intime et le public, les traversées… par-dessus les toits.