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Padri


Titre en français : Pères
Auteur :
Tribuiani, Giorgia

italien

Nombre de pages : 196
Dimensions : 14 x 2 x 21.4 cm
Éditeur : Fazi
Date d'édition : 2022-02

prix TTC :
21,95 €
Réf.9791259671356

Description

C'est un après-midi de printemps quand, avec le même corps et le même âge que le jour de sa mort, Diego Valli se relève. Il se réveille sur le palier de ce qui avait été son appartement, en sort les clés, tente de les mettre dans la serrure mais se retrouve nez à nez avec son fils Oscar, laissé enfant et âgé de plus de quarante ans. De là, commence une histoire de réconciliations et de détachements, une histoire intense et sincère sur la relation entre pères et enfants et le besoin de pardon. Une fois qu'il a reconnu son père, Oscar fait face à l'éloignement compréhensible en s'accrochant aux corvées du quotidien, tandis que Clara, sa femme, ne croit pas au miracle et s'oppose à l'idée d'héberger un inconnu chez elle. Pour compliquer les choses, on ajoute l'arrivée de Gaia, la fille du couple, qui retourne dans sa ville natale pour passer les vacances. Cachée de sa mère, souvent absente pour son travail, Gaia a enfin l'occasion de rencontrer son grand-père : un homme profond, mélomane, plus comme elle que ne l'a jamais été son père. Au contraire, Oscar découvrira des aspects de Diego qu'il ne pensait pas lui appartenir. Après "Blu", Giorgia Tribuiani revient avec un roman sur une histoire à trois voix de colère et de douleur, de non-dits et de secondes chances. Une réflexion sur la famille avec une intrigue originale dans l'équilibre entre réalité et impossible pour un auteur qui sait creuser dans l'âme humaine pour en faire émerger le refoulé et stimuler la compréhension. « 'Pères' témoigne de la façon dont des espaces immenses peuvent être révélés dans des histoires minimales. Un livre d'amour au sens large, comme acceptation et acceptation de l'autre, donc compréhension de l'humain au-delà de son périmètre individuel. Bien sûr, il y a encore plus : la voix du pardon, la générosité de toujours offrir d'autres opportunités face au manque, à l'absence, aux erreurs toujours possibles qui accompagnent les jours qui nous sont donnés. A la fin, on dirait juste, de l'écrivain comme du lecteur : ce n'est pas rien, ce n'est que la vie"

È un pomeriggio di primavera quando, con lo stesso corpo e la stessa età del giorno della propria morte, Diego Valli risorge. Si risveglia sul pianerottolo di quello che era stato il suo appartamento, tira fuori le chiavi, prova a infilarle nella serratura ma si trova faccia a faccia con il figlio Oscar, lasciato bambino e invecchiato ormai di oltre quarant'anni. Da qui, ha inizio una vicenda di riconciliazioni e distacchi, una storia intensa e sincera sul rapporto tra padri e figli e sulla necessità del perdono. Una volta riconosciuto il padre, Oscar affronta il comprensibile straniamento aggrappandosi alle incombenze della quotidianità, mentre Clara, sua moglie, non crede al miracolo e si oppone all'idea di ospitare in casa uno sconosciuto. A complicare le cose, si aggiunge l'arrivo di Gaia, la figlia della coppia, che torna nella città natale per trascorrere le vacanze. Di nascosto dalla madre, che è spesso via per lavoro, Gaia finalmente ha l'occasione di conoscere suo nonno: un uomo profondo, amante della musica, più simile a lei di quanto sia mai stato suo padre. Oscar, al contrario, scoprirà aspetti di Diego che non pensava gli appartenessero. Dopo "Blu", Giorgia Tribuiani torna con un romanzo su una storia a tre voci di rabbia e dolore, parole non dette e seconde occasioni. Una riflessione sulla famiglia dalla trama originale in bilico tra realtà e impossibile per un'autrice che sa scavare nell'animo umano per far emergere il rimosso e stimolare la comprensione. «'Padri' testimonia come in minime storie possono rivelarsi spazi immensi. Un libro d'amore in senso largo, come accettazione e accoglienza dell'altro, quindi comprensione dell'umano al di là del proprio perimetro individuale. Certo c'è anche di più: la voce del perdono, la generosità di offrire sempre altre occasioni di fronte alla mancanza, all'assenza, ai sempre possibili errori che accompagnano i giorni che ci sono dati. Alla fine, verrebbe solo da dire, da parte di chi scrive come di chi legge: non è niene, è la vita soltanto»