Abrakadabra - livres et jeux éducatifs en langues étrangères

⚠️

Vous avez ajouté 0 produits à votre panier sans être connecté, si vous quittez le site, votre panier ne sera pas sauvegardé.

⚠️

A Roma non ci sono le montagne. Il romanzo di via Rasella: lotta, amore e libertà


Titre en français : Il n'y a pas de montagnes à Rome. Le roman de via Rasella : lutte, amour et liberté
Auteur :
Armeni, Ritanna

italien

Nombre de pages : 240
Dimensions : 14.1 x 2.3 x 20.5
Thème : Allemand,Guerre,Roma Italie
Editeur : Ponte alle Grazie
Date d'édition : 2025-01

Prix TTC :
24,50 €
Réf. :9791255821014

Description

Un balayeur jovial poussant son chariot. Une fille simple mais élégante, avec un sac shopping et un imperméable au bras. Un jeune homme, un regard pensif, une mallette en cuir, peut-être un professeur. Une Mercedes, sombre et silencieuse comme l'officier allemand assis sur la banquette arrière. Une compagnie de soldats marchant en chantant. Car en 1944, les compagnies nazies chantent toujours lorsqu'elles passent par Rome. L'histoire passe dans ces quelques mètres, dans ces secondes d'inquiétude et d'attente. Et les histoires des individus qui forment les Groupes d’action patriotique, fondés quelques mois plus tôt contre l’occupant allemand. Pour la plupart des enfants de la classe moyenne, souvent des étudiants universitaires, qui se transforment en Banditen, capables de tirer et de disparaître, de frapper l'ennemi chaque jour, sans lui laisser de répit. Dans ce court - et infini - après-midi de printemps, où passé et présent s'entremêlent, il y a ceux qui se préparent et ceux qui sont surpris, ceux qui meurent et ceux qui survivent, ceux qui s'échappent et ceux qui reviennent. Et il y a aussi ceux qui, sur les corps des 33 Allemands tués, ont signé la condamnation à mort de 335 Italiens. Ritanna Armeni, avec l'intelligence de quelqu'un qui veut comprendre et se souvenir, entraîne le lecteur vers la via Rasella et met en scène l'un des épisodes les plus emblématiques de la Résistance romaine.

Uno spazzino gioviale che spinge il suo carretto. Una ragazza semplice ma elegante, con la borsa della spesa e un impermeabile sul braccio. Un giovane uomo, l'aria assorta, la cartella di pelle, forse un professore. Una Mercedes, scura e silenziosa come l'ufficiale tedesco seduto sul sedile posteriore. Una compagnia di soldati che marcia cantando. Perché nel 1944 le compagnie naziste cantano sempre quando attraversano Roma. In quei pochi metri, in quei secondi di trepidazione e attesa passa la Storia. E le storie dei singoli individui che formano i Gruppi di azione patriottica, fondati qualche mese prima contro l'occupante tedesco. Per lo più ragazzi borghesi, spesso universitari, che si tramutano in Banditen, capaci di sparare e di sparire, di colpire il nemico ogni giorno, senza dargli tregua. In quel breve – e infinito – pomeriggio di primavera, dove passato e presente si intrecciano, c'è chi si prepara e chi viene sorpreso, chi muore e chi sopravvive, chi scappa e chi ritorna. E c'è anche chi, sui corpi dei 33 tedeschi uccisi, firma la condanna a morte di 335 italiani. Ritanna Armeni, con l'intelligenza di chi vuole comprendere, e ricordare, conduce i lettori in via Rasella e mette in scena uno degli episodi più emblematici della Resistenza romana.